Complète de la manade Laurent à Uzès
Entrées :1/3 d’arènes
Organisateur : C T d’Uzès.
Président de course : Didier Gaillard – Délégué de la FFCC : Roland Castagnier
Raseteurs droitiers : Ibarra, Jourdan, Moutet, Vic, Gleize.
Raseteurs gauchers: Aliaoui, N Bénafitou, Errik, Thierry.
Tourneurs :Bensalah, Ranc, Grando
Course Avenir Espoirs – Groupe 2
Dakota, Lebrau, Pacha tirent leur cocarde du jeu
Une complète de la manade Laurent pour cette dernière de la temporade Uzétienne. Didier Galliard pour animer la piste et ce tiers d’arène venu assister aux derniers rasets de la saison organisé par le CT d’Uzès.
Fouquet (756) : la contre piste l’intéresse plus que le centre. Si les passages sont consentis, il n’hésite pas et se jette dans la joute. Victor Jourdan se fera surprendre pour un « plus de peur que mal ». Mais en gladiateur, pansement sur la tête le revoilà en piste. 4 Carmen et rentrée.
Arlequin (818) : est mieux disposé à défendre ses couleurs. Il répond avec fougue. Bénafitou le sollicite, Jourdan et Errik le suivent. Les blancs sont obligés de travailler pour éviter ses envies de vagabondage. Moutet a lui aussi compris et à la dernière il lui ravit la première pelote. La seconde rentre.
Dakota (750) : va très vite céder ses rubans. Mais il ne rechigne pas à l’affrontement et les pelotes seront là pour le prouver. Les séries vont s’enchaîner en musique et Rémy, Radouane et Nabil n’y sont pas pour rien. Les ficelles vont rentrer mais nous avons tous apprécié.
Roméo (763) : chasse et veut se rendre maître des lieux. Moutet l’entraîne aux planches et la corne passe allègrement dans les actions sérieusement consenties. La contre piste lui permet de faire un tour du manège. La trompette sonne et Vic dans un élan vient lui ravir le précieux ruban rouge.
Pacha (634) : répond aux sollicitations. S’engage jusqu’aux planches et frappe jusque à la rupture sur Radouanne et Gleize. Les rubans sautent. Mais les ficelles sont là et Moutet se lance, Bénafitou et Errik suivent, Ibarra fait de même. La seconde rentre en musique après un sympathique quart d’heure.
Lebrau (821) : est sérieux, il ne lâche rien. Les finitions sont de mise et le placement est de rigueur. Les rubans volent mais les anticipations sont là. L’unique pelote sera bien défendue ; Les finitions demeurent et les hommes ont du mal à venir la chatouiller ! Il la rentre en musique.
117 : le taù de la course fait son entrée. Ses envies d’évasion dispersent les envies des hommes et le travail se fait moins important du fait de ses ballades en contre piste trop régulières voire stagnante. Il rentre tous ses attributs en pays.
B. Dusserre